L’aviation britannique entend d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050
Quelques jours après avoir officiellement quitté l’Union Européenne, le Royaume Uni a lancé une nouvelle relative à son secteur d’aviation. Selon les informations diffusées, le pays entend atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans.
Le secteur de l’aviation britannique entend d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050
Le secteur de l’aviation britannique a annoncé aujourd’hui qu’il s’efforcera d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Pour cela, il cherchera développer des projets d’avions moins polluants et des mécanismes de compensation. Ces derniers sont contestés que les ONG considèrent comme “de la poussière dans les yeux”.
L’engagement de réduction de carbone est pris par l’Organisation de l’aviation durable. Elle embrasse l’aéroport de Heathrow à Londres ainsi qu’une partie des grandes compagnies aériennes du pays. Parmi elles, il y a notamment British Airways et EasyJet, Airbus, Boeing et Boeing constructeur de moteurs automobiles et d’avions Rolls-Royce.
Londres s’attend à une augmentation attendue du trafic aérien de 70% d’ici 2050
Les entreprises sont convaincues qu’elles peuvent respecter cet objectif, fixé par le Royaume-Uni et à travers le pays. Elles annoncent cette prévision malgré une augmentation attendue du trafic aérien de 70% d’ici 2050. En raison de cette croissance, Heathrow souhaite construire une troisième piste à partir de 2021.
Pour réduire les émissions, le secteur s’appuie sur des avions et des moteurs plus efficaces et des économes en énergi. Il a également recourt à des carburants qui nécessitent moins de carburant. Cependant, ces technologies ne sont pas encore courantes dans le secteur.
La diminution de la production de dioxyde de carbone est un objectif poursuivi par plusieurs économies développées. Parmi elles, il y a notamment les pays membres de l’Union Européenne. L’Allemagne a récemment annoncé son objectif d’éliminer l’industrie du charbon dans la poursuite des mêmes fins. Le dioxyde de carbone est regardé comme un des plus grands polluants. Sa production pousse certains militants de l’environnement à éviter le transport aérien.
